Bonbay girl, reine en communication, écriture, organisatrice d'apéros et de vie heureuse.
Après avoir gagné le Coup de Cœur d'Eliette Abecassis dans le concours Femme actuelle 2012 avec mon roman Tropique du Capricorne, ce sont les éditions Belfond qui ont sélectionné ma nouvelle Rien n'est impossible dans un recueil parrainé par Françoise Bourdin, Galop d'essai, paru en janvier 2014.
Mon second roman, L'auberge des coeurs blessés, sort le 12 octobre 2016 chez City Editions.
Des dialogues dignes d'un recueil de poésie, des acteurs merveilleux, une histoire de toute beauté.... Je ne suis pas une grande fan du 7ème art mais ce film serait le seul que j'emmènerais sur une île déserte. J'ai eu des coups de coeur pour d'autres (Les nuits fauves notamment, le Patient anglais ou encore Sur la Route de Madison) mais je reviens toujours à celui-ci :
Paris, 1828. Dans la foule présente sur le boulevard du Crime, le mime Baptiste Deburau, par son témoignage muet, sauve Garance d'une erreur judiciaire. Celle-ci, femme libre et audacieuse, en avance sur son temps, intimide Deburau qui n'ose pas lui déclarer franchement son amour. Nathalie, la fille du directeur, aime Baptiste. Garance entame une liaison avec un jeune acteur prometteur, Frédérick Lemaître, mais aime en secret Baptiste. Après que Baptiste les a invités à venir travailler au Théâtre des Funambules, Garance se trouve injustement accusée d'une tentative d'assassinat commise par son trouble ami Pierre François Lacenaire et se voit obligée d'accepter la protection du comte de Montray.
Quelques années plus tard, Baptiste, marié à Nathalie, obtient un grand succès sur les boulevards où il a fait de la pantomime un art reconnu et populaire. Frédérick a accédé lui aussi à la célébrité, et rêve de pouvoir monter Shakespeare. Garance, devenue depuis compagne du comte, est revenue à Paris et assiste incognito à toutes les représentations de Baptiste. Un jour alors qu'il se présente à la demeure du comte de Montray, Lacenaire en est chassé avec mépris. Il jure de se venger de cette humiliation, ce qu'il fait en découvrant aux yeux de tous Baptiste et Garance en train de s'embrasser – il tire le rideau qui cachait les amoureux isolés sur un balcon, opérant une fois de plus un effet de théâtre. Mais cette vengeance ne lui suffit pas : il assassine, quelques jours après, le comte de Montray. Après leur première et unique nuit d'amour, Garance, qui ne veut pas détruire le bonheur du petit garçon que Baptiste a eu avec Nathalie, s'en va, au désespoir de Baptiste.
librairie De la Presqu'ïle, au centre Rivétoile de Strasbourg ce samedi 15 déc de 15 à 18h
Je vous attends nombreux.........surtout mes anciens collègues d'AF!!!!!!! (et sinon, je rentre chez moi pour 4 jours !!!!!!! ma belle Alsace, j'arriveeeeeeeeeee!!!!!!!!!)
On me demande souvent si j'écoute de la musique quand j'écris....la réponse est OUI.
Je ne supporte pas le silence quand j'écris.
Mes sources d'inspiration sont nombreuses.......la vie quotidienne, un film, une discussion avec quelqu'un, un article de magazine ou de journal et surtout : la musique.
Alors j'écoute de tout, de tous les genres.
Mais en ce moment, voilà qui m'inspire : ALAIN BASHUNG.
Fabuleux...merveilleux...de la dentelle....
J'ai une prédilection pour La nuit je mens ou encore sa reprise de Christophe, Les mots bleus.
Mon frère m'a fait découvrir celle ci :
Reposez en paix Mr L'Artiste
C'est un grand terrain de nulle part Avec de belles poignées d'argent La lunette d'un microscope Et tous ces petits êtres qui courent
Car chacun vaque à son destin Petits ou grands Comme durant les siècles égyptiens Péniblement...
A porter mille fois son poids sur lui Sous la chaleur et dans le vent Dans le soleil ou dans la nuit Voyez-vous ces êtres vivants ? (x2)
Quelqu'un a inventé ce jeu Terrible, cruel, captivant Les maisons, les lacs, les continents Comme un légo avec du vent...
La faiblesse des tout-puissants Comme un légo avec du sang La force décuplée des perdants Comme un légo avec des dents Comme un légo avec des mains Comme un légo...
Voyez-vous tous ces humains Danser ensemble à se donner la main S'embrasser dans le noir à cheveux blonds A ne pas voir demain comme ils seront...
Car si la Terre est ronde Et qu'ils s'agrippent Au-delà, c'est le vide Assis devant le restant d'une portion de frites Noir sidéral et quelques plats d'amibes
Les capitales sont toutes les mêmes devenues (x2:) Aux facettes d'un même miroir Vêtues d'acier, vêtues de noir Comme un légo mais sans mémoire (x2)
Pourquoi ne me réponds-tu jamais ? Sous ce manguier de plus de dix milles pages A te balancer dans cette cage...
A voir le monde de si haut Comme un damier, comme un légo Comme un imputrescible radeau Comme un insecte mais sur le dos Comme un insecte sur le dos (x2)
C'est un grand terrain de nulle part Avec de belles poignées d'argent La lunette d'un microscope On regarde, on regarde, on regarde dedans...
On voit de toutes petites choses qui luisent Ce sont des gens dans des chemises Comme durant ces siècles de la longue nuit Dans le silence ou dans le bruit... (x3)